Au cœur de Tunis, sur ce pan de l’avenue Bourguiba où se sont joués les derniers jours de la révolution de 2011, des dizaines de milliers de Tunisiens massés face au ministère de l’Intérieur il n’y a aujourd’hui que des policiers. La raison ? Le confinement débute aujourd’hui. En un saisissant raccourci, l’aggravation de la situation sanitaire a percuté la commémoration démocratique. Pour certains, le 14 janvier est un simple jour férié ; pour d’autres, une date…
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