Tribune. Depuis la campagne présidentielle de 2016, les réseaux sociaux Twitter et Facebook sont apparus dans le débat public étatsunien comme des outils de subversion à la solde des « agents de l’étranger » – en premier lieu de la Russie – capables de déstabiliser la démocratie américaine. Début septembre 2020, en pleine campagne présidentielle, les principales plates-formes américaines des géants du numériques, Facebook et Twitter, affirmaient avoir été…
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