« La représentation du passé n’est pas un acte anodin quand il s’agit de la guerre d’Algérie, touchant à plusieurs groupes de personnes traumatisées (soldats, officiers, Algériens, immigrés, harkis, pieds-noirs) ; et quand ces représentations entrent en contradiction avec des discours dominants, officiels. La réminiscence devient alors moins évidente, plus douloureuse, et l’analyse de ce passé est…
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