Il y aura un « après ». Nous retournerons au stade, aux terrasses de cafés, au cinéma et dans les festivals de musique pour nostalgiques des années 1960. Serrés les uns contre les autres. Nous reviendrons au zinc de la brasserie du quartier et nous irons démasqués baguenauder au musée. On nous garantit une sorte de débauche collective, la fiesta jusqu’à l’aube, un « boom » de l’économie sur fond d’explosion technologique. Ce sera l’après-Covid, comme il…
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